À qui ne connaît pas les "Rubayat" d'Omar Khayyam, je dis : quelle chance vous avez de ne point encore les avoir découvertes. Un recueil absolument réjouissant de quatrains de ce poète persan qui vécut voici mille ans.
J'ai trouvé ce site, qui cite abondamment ce petit livre que vous vous procurerez dès le confinement terminé.
Et pour nous relier au présent thème :
« Ils disent tous : “Il y aurait, il y a même un enfer !”
Blablabla ! le cœur ne doit pas s’émouvoir !
Si tous ceux qui font l’amour et qui boivent sont de l’enfer,
Demain le Paradis, comme le creux de ma main, est désert. »
Ou bien
« Tout homme qui eut une affection, une amitié dans son cœur,
Qu’il soit de ceux qui prient ou de ceux qui jamais en public ne prient,
Tout homme dont le nom a été inscrit sur le livre de l’affection,
Est libéré de l’Enfer, n’a plus besoin du Paradis. »
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